Leur premier clip You, en duo avec la ravissante Sara’h, a déjà fait danser plus de 500 000 personnes ! LOYAL nous vend du soleil avec un premier titre qui sent bon le succès estival.
Jordan et Dalvin nous offrent un son qui vient du cœur, une musique sincère qui véhicule la joie de vivre. En pleine préparation de leur premier album, les garçons nous ont accordé cette semaine une interview en toute simplicité à Paris à l’hôtel Platine.
Pouvez-vous vous présenter aux internautes ?
Nous sommes Jordan et Dalvin et nous formons à nous deux le groupe LOYAL. Producteurs-compositeurs de métier, nous avons décidé de monter un groupe.
Comment définissez-vous votre son ?
Il est atypique. On essaie de ne pas suivre les tendances. On a pas mal de choses acquises de par notre expérience, ce qui nous pousse à réaliser notre musique comme on l’entend, à notre manière. Ce n’est donc pas évident à définir. Comme toujours il y a des instruments connus de tous, un pré-refrain et un refrain mais il est difficile de définir chaque partie. On est vite perdu. C’est un peu désordonné mais c’est ce qui défini LOYAL, cette manière de travailler, cette musique différente des autres.
Pourquoi avoir choisi LOYAL comme nom de groupe ?
On a mis du temps avant de trouver un nom tout simplement car il y a des noms qu’on assumerait pas. En tout cas celui-ci là il nous correspond plutôt bien. En réalité, depuis qu’on travaille dans ce milieu nous avons toujours essayé d’être le plus juste, le plus honnête possible avec tous les gens avec qui on bossait. Le nom s’apprêtait bien à notre identité. On est des gars loyaux.
Et si vous nous parliez de votre rencontre : Comment est né le groupe ?
Ça ne s’est pas fait de suite ! On s’est rencontrés à Atlanta car on travaillait là-bas. Jordan vivait là-bas et moi (Dalvin) j’étais juste de passage. En discutant on a compris qu’on avait beaucoup de choses en commun. Dès notre retour à Paris on a décidé de travailler ensemble. On a fait plein de titres ensemble mais c’est avec le temps que l’idée est née, tout naturellement.
Jordan tu vivais à Atlanta. Est-ce que la ville et sa culture musicale t’ont influencé ?Jordan : A la base j’étais parti à Atlanta car j’avais obtenu un contrat avec une maison de disque aux Etats-Unis et mes collaborateurs étaient là-bas. Je suis parti pour me rapprocher d’eux, pour être plus productif.
Dalvin : A l’époque, je travaillais pour une grosse radio à New-York. J’ai profité d’être aux USA pour voyager et travailler avec divers artistes pour apprendre, tout simplement. Tous les week-ends je prenais un avion. J’avais déjà des contacts donc je me calais des rendez-vous. Parfois même, j’allais simplement écouter ce qu’il se faisait en studio. C’est comme ça qu’à Altanta je suis tombé sur Jordan. Je crois que ça se voit clairement quand on est français.
Jordan : J’ai à peine eu le temps de parler qu’il m’a dit « Toi t’es français ». (rires)
Dalvin : On a super sympathisé et puis voilà !
Cette expérience américaine doit certainement apporter un plus à votre son et changer votre approche de la musique ?
Sans doute, enfin oui dans le sens où l’expérience c’est tout ce qu’on a l’opportunité de voir : le fait d’avoir travailler avec des américains, d’être chez eux… Oui, ça joue beaucoup, ne serait-ce que dans le gain d’assurance.
Vous chantez également en anglais. Peut-on dire que vous visez une carrière internationale ?
Bien évidemment ça nous attire. On aimerait réellement partager notre musique avec le maximum de personnes, même si on garde une identité bien française.
Votre premier clip c’est You (Toi et Moi). Pour l’occasion, vous êtes accompagnés de Sara’h. Comment s’est passée cette rencontre ?
Sara’h enregistrait dans le studio à côté du notre. C’est comme ça qu’on s’est croisés. Comme avec chaque artiste que l’on rencontre on discute, on se fait écouter nos morceaux. On a vraiment aimé ce qu’elle faisait. On s’est regardés tous les deux et on s’est dit qu’il fallait vraiment qu’on fasse quelque chose avec elle. En plus, on prévoyait de refaire une deuxième version de You donc ça s’est fait directement dans la journée. Elle a écouté le titre, elle l’a adoré. On s’est super bien entendus. Le soir même le morceau était déjà quasiment fini.
Vous êtes en plein processus de création de votre premier album. Que pouvez-vous nous dire à son sujet ?
On peut déjà vous dire que les messages de cet album seront positifs. Il sera incroyable. On va essayer de monter d’un cran à chaque fois, à chaque morceau. On commence avec You. Le prochain sera d’un niveau supérieur et ainsi de suite. C’est pour cela que je dis qu’il sera incroyable. Pour nous il sera prêt quand il vaudra de susciter la curiosité, qu’on sera fier de nos morceaux. Tout cela sans aucune prétention ni compétition. On veut simplement offrir quelque chose de super qualitatif.
Selon vous quels sont les indispensables d’un bon tube de l’été, car « You » semble réellement avoir toutes ces chances ?
Il faut deux barbus. (rires) Je pense les indispensables sont dans la couleur qu’on donne au morceau. Il faut que la couleur ressemble au soleil. Si on doit comparer la note avec une couleur, il faut ça soit celle qui nous rappelle le plus le soleil. Il faut aussi que cela donne envie de danser et c’est vrai que dans You il y a cette sonorité africaine légère. C’est vraiment un mélange de plein d’éléments. A la base, quand on a fait ce morceau ce n’était vraiment pas pour faire un hit de l’été. C’était simplement pour se faire kiffer.
Y-a-t-il un parcours artistique qui vous fait rêver, une carrière modèle d’un artiste ?
Nous n’avons pas réellement de modèle. On veut juste se faire plaisir et partager. Tant que vos proches sont fiers de vous, c’est suffisant. Vous pouvez avoir cinq millions de fans mais vous ne pourrez jamais ressentir l’amour de cinq millions de personnes en même temps. On est des producteurs de base, on vit de ça depuis toujours et il n’y a rien de plus beau.
Pour finir, si vous deviez définir Loyal en un mot ?
Loyal ! (rires)